Chapeau aux technicos

Et chapeau aux agriculteurs. Car l’un comme l’autre dans leurs métiers respectifs, ont à gérer une grande diversité de profils pour le premier, de métiers pour le second. La complexité de l’activité du second renforce celle du premier. Et, surtout, ils font partie de ces professions auxquelles on demande d’opérer régulièrement des révolutions. Quand j’observe mon propre métier, depuis l’ère de l’ordinateur, un clavier est resté un clavier. Et les mots, des mots. Et je compte les formations sur les doigts d’une main. Aussi, quand j’entends tous ces témoignages lors de nos rencontres du 14 juin (lire dossier pp. 22-34) et les changements que vivent ces populations, souvent imposés par le dictat de la société, certes pas toujours à tort, un seul mot traverse mon cerveau : « chapeau ». Et si ce chapeau peut vous éviter une prochaine insolation, je vous l’offre avec d’autant plus de plaisir.